10 choses qu’un architecte ne devrait plus faire

By Anais

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Censé gérer tous les volets d’un projet, l’architecte n’a souvent pas d’autre alternative que de passer beaucoup de temps sur des tâches un peu rebutantes, qui n’ont grand chose à voir avec son cœur de métier. Et si l’une des phases d’un projet incarne particulièrement bien ce constat, c’est bien la consultation des entreprises.
DCE, CCTP, CTB, DTU, DQE, DPGF, BPU, FDP, CCAP, CCAG, ACT, […] ; une masse de travail considérable se dissimule bien souvent derrière ces acronymes barbares. Un travail invisible, qui n’est pas toujours valorisé, et pour lequel l’architecte n’est parfois même pas rémunéré, et qui ne devrait certainement plus parasiter l’exercice professionnel de l’architecte.

Voici 10 choses qu’un architecte n’aura bientôt plus à vivre :

1. Passer deux heures à tenter d’additionner 2 cellules dans un tableur censé te permettre de comparer les offres de deux entreprises… pour finalement ressortir ta bonne vieille calculatrice.
2. Finir de reprendre la numérotation de chaque poste de chaque lot du DPGF sur ton tableur pour la 27ème fois car tu as finalement décidé de regrouper deux lots, puis te rendre compte que tu dois faire la même chose dans ton CCTP.
3. Réaliser que tu as laissé l’adresse d’un ancien client dans le CCTP que tu as copié-collé, alors que tu en es à 132 minutes de chargement du fichier ZIP de ton DCE sur wetransfer…
Bati CCTP
4. Chercher, contacter, et re-relancer des entreprises afin d’obtenir un chiffrage. Re-chercher, re-contacter et re-re-relancer des entreprises parce que les offres n’étaient pas aux prix. Négocier une ultime remise auprès d’un artisan, avant que ton client t’avoue qu’en fait ça ne sert à rien car son beau-frère lui a dit qu’il avait trouvé moins cher sur internet.
5. Appeler 3 confrères qui te renvoient vers 2 autres afin qu’ils te recommandent une entreprise générale qui serait intéressée et libre pour chiffrer le projet. Une entreprise dont ils ont entendu parler mais avec laquelle ils n’ont jamais travaillé…
6. Ouvrir ta boite mail à 20h01 UTC+2, deadline de rendu des offres. Sentir ton cœur s’accélérer car tu vas enfin savoir si ton projet rentre dans l’enveloppe du client… mais t’apercevoir qu’aucune entreprise n’a répondu à temps. Comme d’habitude.
7. Jouer au jeu des sept différences entre le DCE et les devis reçus pour identifier les postes non chiffrés, ceux en cours de chiffrage, ou encore ceux chiffrés hors fourniture… mais ne pas réussir à comprendre comment il peut y avoir plus de 40% d’écart entre 2 devis.
8. Appeler 40 fournisseurs et 10 confrères, passer 2h sur le site de Point P et 4h sur celui de Casto pour essayer d’évaluer précisément le coût des fournitures, alors que les entreprises ne chiffrent même pas les produits demandés…
Et finalement… Consacrer 20% de son temps à faire de l’architecture et 80% à faire des trucs à la con !

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